Lundi 16 Juin 2025
Lundi 16 Juin 2025
Journée 29
Fréteval (41) - Vendôme (41)
https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?mid=175oxWl1QCmOPCPP1oGlKYDnsO3uJ_ZE&usp=sharing
Amics zigzaguistes adishatz
Dès 6h00, les tourterelles se font entendre près de notre aire de quiétude.
7h35 départ, température 14,7°. Le soleil est déjà bien présent
Fréteval (41)
Le château
Je quitte notre hébergement en direction du château de Fréteval.il s'agit des vestiges d'une forteresse du Xle siècle couvrant 4,5hectares, Aujourd'hui il n'en reste qu'un donjon imposant qui est I'un des premiers donjons circulaires en pierre de France.
Construit à la limite des comtés de Vendôme, à l'ouest, et de Blois, au sud-est , d'où sa fonction militaire primordiale également dévolue à tous les "châteaux de marche".
Le château de Fréteval jouera, épisodiquement, un rôle dans la grande Histoire de France, lorsque les royaumes de France et d'Angleterre, présents à travers les deux comtés, s'affronteront localement. Mais durant toute cette période instable, le siège "administratif" de la seigneurie restera implanté à Meslay-le-Vidame, près de Chartres, fief majeur de cette famille Meslay, seigneurs de Fréteval jusqu 'à la fin du XIllème siècle.
La Tour de Grisset est le vestige d'un temple gallo-romain.
Si le monument en lui-même n'est pas fouillé, des recherches partielles menées au milieu des années 1960 dans son environnement révèlent la présence d'un ensemble thermal et d'une série de structures à la fonction encore indéterminée ; l'hypothèse d'une petite
agglomération secondaire ou d'un centre de pèlerinage est posée.
Les vestiges du fanum, remarquablement conservés pour un monument probablement construit au IIe ou IIIe siècle, sont inscrits comme monuments historiques en 1948 ; en 1991, la protection est étendue à l'ensemble du site archéologique.
Bien arrosé le maïs pousse
Stèle commémorative du camp de Fréteval à Bellande.
La forêt de Fréteval a marqué la deuxième
guerre mondiale avec ce camp complètement irréel au milieu des lignes allemandes hébergeant des aviateurs Américains, Anglais, Belges, Australiens, Canadiens, Néo-Zélandais, Sud-Africains, rescapés des chasseurs et bombardiers alliés abattus.
Maurice Clavel chef départemental et son
adjointe Silvia Monfort mettant en œuvre les
ordres de Londres, avec le concours de
Philippe d'Albert Lake, c'es toute la
résistance locale du capitaine Jubault avec
Serein, Poupard, Bezault, Cogneau le
convoyeur, qui va mettre en place cette
mission marathon.
Jean de Blommaert et le Colonel Boussa
dépêchés par les services anglais vont ici à
Bellande réussir cet exploit sur les terres de
la Vicomtesse de Beaudignies.
Il n'y a pas de succès sans compagnon
comme Viron, Guillaumin ,Guet, Villedieu,
Lefèvre, Hallouin, Fouchard, Rideau, Avrain
Desmoulières, Barillet, Tatave et Pedro. II n'y
a pas de réussite sans ces artisans
boulangers ou bouchers comme Trécul,
Meslage, Chassier, Laubry et tous les
fermiers environnants.
Il n'y a pas de réussite sans ces femmes exemplaires Virginia, la seule convoyeuse arrêtée et déportée, Ginette, Cécile, Yvonne, Roberte, Annie, Michèle, la veuve Guérinault et les autres.
Un homme le docteur Teyssier, une femme
Madame Duprez ont assuré jour et nuit les
soins et I'hébergement hospitalier.
Ce petit bois ne sera plus seulement le bout
de la forêt de Fréteval mais un lieu de
I'histoire de notre pays qui honorera ceux qui
ont vécu en ces lieux, de fin mai 1944 au 13
août.
Une rencontre fortuite avec les frères Diet et Paul accompagné de Berry.
Quand on me traitera d'âne, je sais que ce sera un signe d'affection🫏🫏.
Boursay (41)
Jardin botanique
Trogne est un terme régional, spécifique au Perche, que la Maison Botanique, apres D. Mansion, emploie comme terme générique pour désigner ces arbres aux formes multiples.
On les appelle par exemple émousse en Mayenne, ragosse en Bretagne, touse dans le Nord de la France..
D'où viennent ces trogne?
La trogne est un arbre dont la taille est répétée
périodiquement, et toujours aux mêmes
endroits. Cette taille est pratiquée depuis très
longtemps, dans toutes les régions. L'arbre se
présente comme un taillis surélevé, préservé
de la dent du bétail.
Selon les essences et les besoins, les trognes
fournissent régulièrement du bois (pour le
chauffage, les fours, la fabrication de charbon
de bois), du fourrage pour les animaux, des
fruits, et aussi des rameaux pour d'autres
usages domestiques (vannerie, piquets).
Elles sont utilisées aussi pour borner des
parcelles notamment en forêt. Les arbres urbains peuvent également être menés
en trognes. Il existe de nombreuses variantes
dans la manière `de tailler : arbre têtard
(taille sommitale), arbre d'émonde (taille
latérale), chandelier, têtes de chat, etc. Cette
taille favorise l'émission de nombreux rejets
feuillus.
Après les coupes répétées, la formation de
cavités et de bourrelets cicatriciels donne à
l'arbre une drôle de trogne .
Couêtron au Perche (Arville) : (41)
Commanderie des Templiers
Fondee au XIle siècle par l'ordre du Temple, la
Commanderie d'Arville est aujourd'hui l'une
des commanderies les mieux conservées de France.
Eglise, porche d'entrée, écuries, grange aux dimes, pigeonnier, cet ensemble architectural d'envergure (XII ème-XVI ème) évoque la vie quotidienne des Templiers avant leur départ pour la Terre sainte.
Après leur tragique arrestation en 1307, la
commanderie devient la propriété des Hospitaliers qui l'administrent jusqu'a la Révolution française.
De nos jours, elle n'est utilisée qu'épisodiquement par le clergé qui organise de temps en temps des messes.
Commanderie des Templiers
La crypte
Château de la Cour
Couêtron au Perche (Souday) (41)
Église Saint Pierre
L'édifice classé passe pour avoir éte bati par Saint Aldric, évêque du Mans de 832 a 856.De cette époque, il reste un pan de mur très caractéristique, visible à l'extérieur côté nord,
forme de douze lits successifs de rognons de silex alternés de trois rangs de briques à rebords.
A la fin du Xle ou au début du Xlle siècle, les moines du prieuré Saint-Pierre de Souday entre-
prennent la reconstruction d'une église à crypte. Celle-ci est saccagée par les Huguenots en 1559, rétablie en 1564, puis restaurée en 1894.
Le choeur surélevé de 3m est construit entre 1520 et 1534 et restauré en 1889. La date de 1533 figure sur un pilastre à l'entrée de la crypte.
En 1833, la foudre tombe sur le clocher et l'incendie gagne la voûte qui est refaite en 1889 ainsi que le clocher.
En 1970, la nef est restaurée, les fenêtres romanes et la porte nord sont mises à jour.
Église Saint Denis
Elle fut le témoin d'une histoire mouvementée : incendiée pendant la Guerre de Cent Ans, reconstruite en grès de roussard en 1547. elle fut ensuite réhabilitée à plusieurs reprises. Notamment, des travaux importants (1875-1889) modifièrent profondément son aspect extérieur avec l'édification d'un clocher-porche en tuffeau, de style néo-gothique.
Elle fut le témoin d'une histoire mouvementée : incendiée pendant la Guerre de Cent Ans, reconstruite en grès de roussard en 1547. elle fut ensuite réhabilitée à plusieurs reprises. Notamment, des travaux importants (1875-1889) modifièrent profondément son aspect extérieur avec l'édification d'un clocher-porche en tuffeau, de style néo-gothique.
L'hôtel de ville
Mesley (41)
Le château
Depuis 1887,la voûte de la nef de l'eglise etait decorẻe d'etoiles sur un fond de ciel bleu, mais l'ensemble étant très dégradé, il a ete procédé à son replatrage en 1974. Aucune autre decoration n'a alors été refaite et
la voûte est restée blanche jusqu'en 1988.
Lors d'une exposition de peintures dans la nouvelle salle communale, juste à côté de l'église, Jean-Claude Ferron et son ami Pierre Petot, peintres vendomois présentent quelques-unes de leurs oeuvres. Ils lancent la folle idée de la décoration de l'église.
Michel Boutaric, alors maire de Meslay, et grand
amateur de peinture, est séduit par ce projet. L'abbé Valuche, curé du village, est enthousiasmé et ne reste pas avare de ses conseils éclairés.
Après une courte mais fertile période de gestation d'étude des fresques anciennes et de leurs traditions, il est décidé de décorer l'abside. On y dessinera un Christ en gloire dans la tradition byzantine.
Dans les églises orthodoxes du Moyen-Orient, une telle représentation est appelée Grande Deisis, ou encore Glorification du Christ, d'ou l'appellation actuelle : Christ en gloire.
Un échafaudage de maçon est érigé au-dessus du choeur ; plusieurs esquisses sont présentées par le peintre. Il faut choisir le type de peinture et chercher comment fixer les couleurs sur un plâtre déjà en place depuis plusieurs années (on ne peut plus peindre a fresco).
Comment reproduire en grand et si haut ce que l'on a déjà eu tant de peine à dessiner
sur un modeste carton ? Comment tenir compte des courbures du support, de ses irrégularites, de tous ses petits défauts, de ses craquelures jouant au gré des variations saisonnières ? Comment se rendre compte de l'effet produit alors qu'il faut travailler à bout de bras et sans le moindre recul ?
Quelle allure l'oeuvre aura-t-elle le jour où l'on pourra enfin la découvrir après avoir démonté l'echafaudage bien gênant mais indispensable?
Areines (41)
Église Notre-Dame
Cest un edifice tres simple construit à la fin du Xle siècle, dont le chœur semi-circulaire, percé de trois baies romaines, a été repris au XIIe siècle. Le clocher à flèche d'ardoise a été ajouté postérieurement. La porte d'entrée et deux fenêtres ont été ouvertes au XVe siecle dans le mur sud. Au-dessus de ce portail simplement mouluré, une niche abrite une gracieuse Vierge à l'enfant du XVe siècle (têtes refaites). Un petit cimetière clos de murs entoure en partie l'église. On peut y voir la tombe de l'abbé Beaunier (mort en 1852). Il était un agent propagateur de la "Petite Eglise", mouvement dissident qui se manifeste au moment du Concordat et au cours du XIXe siècle.
Je retrouve Claudine à 17h20. Nous nous désaltérant avant de visiter la ville ( elle a déjà un peu d'avance sur moi). Elle me sert de guide.
Sous-préfecture du Loir et Cher
Elle se trouve entre les régions naturelles du Perche au nord et de la Petite Beauce au sud, au pied du Loir. À l'entrée de la ville, la rivière se divise et la sillonne en plusieurs plus petits cours d'eau. La forêt de Vendôme se trouve être l'un des vestiges méridionaux, avec la forêt de Fréteval et quelques bois parsemés, de l'immense forêt qui constituait le Perche d'origine
La ville a une riche histoire médiévale et de nombreux monuments historiques.
Pour suivre le circuit de visite
Le château et son parc
Vendôme depuis le parc du château
La Tour Saint Martin
La tour Saint- A Martin, 2ème clocher solitaire de la ville mais plus modeste que celui de l'abbaye. La pauvre tour a perdu son église, détruite au XIXe s. Pour compenser, le célèbre carillon de l'abbaye (réquisitionné pendant la Révolution, puis fondu pour être transformé en canon ) fut reconstitué dans la tour Saint-Martin et égrène à nouveau l'hymne composé pour Charles VII.
Statue de Rochambeau
Jean-Baptiste-Donatien de Vimeur, comte de Rochambeau. Né en 1725 dans celte ville, ce héros de la guerre d'Indépendance américaine a marqué à la fois l'histoire des États-Unis, de la France et du Vendômois. Jean-Baptiste-Donatien de Vimeur passe ses premières années au collège des Oratoriens de Vendôme puis embrasse une carrière militaire en 1742, à l'âge de 16 ans, au service du roi Louis XV.
En 1780, Louis XVI le nomme commandant en chef du corps expéditionnaire français envoyé en Amérique pour soutenir les insurgés dirigés par George Washington contre les troupes anglaises. La victoire de Yorktown, le 19 octobre 1781, force les Britanniques à négocier la paix et ouvre la voie à |'indépendance des États-Unis. Promu lieutenant-général avant son départ pour I'Amérique, Rochambeau termine sa brillante carrière en 1791, à l’âge de 66 ans, avec le prestigieux titre de maréchal de France.
A partir de 1792, il se re tire dans sa demeure de Thoré- la-Rochette, où il vit jusqu'à sa mort le 10 mai 1807. Le monument funéraire du Maréchal se trouve quant à lui dans le cimetière de Thoré-la-Rochette.
A Vendôme, une statue en bronze à son effigie, réalisée par le sculpteur local Fernand Hamar, est inaugurée en 1900 sur la place Saint- Martin, en présence de ľambassadeur des États-Unis. Cependant, cette statue est réquisitionnée puis fondue par les autorités allemandes le 27 juin 1942. Une réplique est installée le 5 juin 1974 grâce au soutien de la Société américaine des Cincinnati. La mémoire du maréchal de Rochambeau dépasse les frontières françaises témoignant de son rôle essentiel dans |'histoire franco-américaine et dans |'indépendance des États-Unis. : des statues lui rendent égale- ment hommage sur la place Lafayette, à Washington (USA), face à la Maison blanche ; à Paris près du palais Galliera ainsi qu'à Newport (USA), lieu du débarque- ment du corps expéditionnaire français en 1780.
Église de la Trinité
L'ORIGINE DES STALLES
Louis de Crevant, abbé de 1487 à 1522. serait à l'origine des stalles. Elles datent du dernier quart du 15 siècle L'identité des sculpteurs n'est pas connue
LES STALLES A LA VEILLE DE 1791
Dans le chour des moines, ily avait 88 stalles hautes et basses. Les stalles hautes étaient adossées contre le mur du jubé faisant face à l'autel et contre les deux murs de pierre clôturant le choeur.
LES STALLES A PARTIR DE 1791:
En 1791, les stalles de l'abbaye de la Trinité sont vendues au prix de 5 000 francs comme bois de feu à plusieurs petites paroisses du Vendômois. On suppose que la dispersion se fait en plusieurs lots par l'intermédiaire d'un menuisier. La majeure partie aboutit à Lunay et reviendra 45 ans plus tard
LE RETOUR DES STALLES
En 1836, l'abbé Caille, curé de la Trinité, les racheta et dans la suite, les fit réparer. Elles ne sont donc plus à leur place primitive et ont subi d'importantes restaurations. Les parties anciennes comprennent la plupart des miséricordes et des accotoirs. I faut y joindre un certain nombre d'angelots juchés aujourd"hui sur des pinacles modernes.
Gravure des stalles
Animal fantastique
Cette porte, fortifiée au cours de la fin du XIIIe et au XVe siècles, est aussi appelée arche des Grands Prés, du nom des terrains qui l'environnent.
Dès le Moyen Âge, la quantité d'eau du Loir est contrôlée pour alimenter les moulins de la ville. Ainsi, un barrage a été maçonné par les moines de la Trinité pour assurer le débit nécessaire à leur moulin dénommé "moulin Perrin'".
Pierre de Ronsard (1524-1585) cite la vallée du Loir et le Vendômois dans ses écrits. Ce poète de la cour est né au manoir de la Possonnière, à une quarantaine de kilomètres de Vendôme
Ces prairies humides au Moyen Age vont recevoir au X IXe siecle les décombres de la ville. Finalement ce terrain en bord du Loir est réhabilité et devient le square Belot en 1898.
0Les militaires, installés dans l'abbaye de la Trinité, construisent les ponts de l'Islette et du quartier pour désenclaver leur caserne. Sur la pente des petits jardins, chaque année, de nouvelles scènes florales sont composées en mosaiculture. Tous ces parcs et jardins participent à la recheche de qualie et de diversité du fleurissement de Vendôme.
Chapelle Saint Jacques
XII-XV et début du XVI ème siècle.
Sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle
La tour de l'Islette fait partie des fortifications, construites au XIIéme siècle en bord du Loir. A partir du XVIII ème siècle, la tour comme les autres ouvrages défensifs sont délaissés, en partie abattus et réutilisés par les Vendômois. Au fil des siècles, les nombreuses crues du Loir endommagent les murs d'enceinte et les ponts alors en bois.
Près de la tour de l'Islette le pont Chartrain est ainsi reconstruit en pierre en 1691.
Le duc César de Vendome fonde, en 1623 un collège dirigé par des Oratoriens (congrégation de religieux, établie en France au XVII siècle). Edifié de 1635 à 1779, les constructions en briques et pierres (particulièrement, à droite sur l'image : la cour d'honneur) témoignent de l'architecture classique.
A la fin du XVIII siècle, le collège est promu collège royal militaire, étape marquée par l'édi fication de bâtiments encadrart la cour des platanes (en partie disparus aujourdhui).
Les Oratoriens sécularisés maintiennent le collège malgré les troubles de la Révolution française. Devenu lycée en 1848, il reçoit le nom de lycée Ronsard, en 1930.
En 1974, ces bâtiments, jugés trop anciens et inadaptés, sont abandonnés au profit des locaux neufs construits au nord de la ville, dans le quartier des Rottes.
L'assemblée municipale fait restaurer cet ensemble, laissé à l'abandon, et y installe l'hôtel de ville, inauguré en 1982.
Une plaque rappelant l'attribution de la Croix de guerre à la ville en 1952 est apposée dans le hall du batiment pour rappeler le lourd tribu humain et matériel payé par celle-ci pendant les com- bats et pour souligner l'importance du rôle joue par des recrues locales dans les groupes de résistance.
Quelques photos de la ville
Honoré de Balzac
Ce n'est qu'un aperçu de la ville de Vendôme. Il y a bien d'autre choses à découvrir.
Ce n'est qu'un aperçu de la ville de Vendôme. Il y a bien d'autre choses à découvrir.
La journée a une fois de plus été dense.
Je n'ai pu finir le compte-rendu que ce matin.
Je le met en ligne sans avoir éventuellement corrigé les fautes d'orthographe. Soyez indulgents.
Il est 8h50. Je ne vous souhaite pas bonne nuit.
Bonne journée à toutes et à tous.
Arrivé 18h42 après 121,3 km, 11h07 de temps total de vélo et 1032m D+.
Vendôme nous a bien plu avec en plus un resto en terrasse sympa le soir...Quant à Berry le petit âne,je pense que de plus en plus il peut te donner des idées.... déjà brouter l herbe chez nous qd tu zigzaguer...car sinon bien sûr rien ne vaut le vélo pr voyager...
RépondreSupprimerVendôme mérite le détour nous ne connaissions que les rives du Loir, Francis
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