Vendredi 13 Juin 2025

 Vendredi 13 Juin 2025

Journée 26

Vierzon (18) - Salbris (41)

https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?mid=1Xn6IpNPZtaxPPnukpvSGWeEcVcSBmDE&usp=sharing

Amics zigzaguistes adishatz 

Nuit calme  près du barrage de l'abattoir sur la Yèvre à Vierzon.

Départ 7h40, température de 19,4; il fait déjà chaud.

Je circule entre le tournesol qui est en pleine croissance 


le maïs qui a des difficultés à pousser 

et les premiers foins qui sont déjà  effectués
Saint Georges sur la Prée (18)

Le château 











Ancien port des Ocreries

La navigation sur le Cher existe depuis le Vème siecle avant J.C, elle se développe au XIXème siècle. 

Flottable, Cher sauvage, depuis le village de Vaur (Montlucon Allier), le Cher était classé
navigable de St Florent à la confluence de la Loire entre Savonnières et Villandry.
Jadis, la circulalion des hommes et des marchandises s'effectuait en majorité par voies navigables. 
Les routes et chemins peu surs et mal entretenus n'étaient empruntés que par quelques rares diligences, des troupes en déplacement mais essentiellement par les habitants des hameaux pour des besoins divers de proximité, marchés, évènements familiaux, les petiles activités agricoles, le colportage..
Dès le début de l'ère industrielle, au XVIIème siècle, les cours d'eaux, des plus pelites rivières aux grands fleuves, pour la circulation des marchandises et productions de toute sorte.

Ainsi, les habitants de St Georges observaient régulièrement le passage de barges, sapines, toues et autres futreaux transportant des marchandises diverses, les produits métallurgiques de Montluçon, les porcelaines de Foecy ou de Vierzon, les chênes de la forêt de Tronçay, le charbon de Decize ou de Blanzy, les
vins du Maconnais, etc...

Cette activité de transport établie sur un très dense réseau de voies navigables, était le domaine de la batellerie, qui rassemblait une grande corporation, riche de traditions que l'ère moderne a condamné  début du XXème siècle.

A St Georges sur la Prẻe, jusqu'en 1864, notre village exportait une riche production d'ocre, tirée de sa terre depuis plusieurs siècles.
L'ocre de St Georges sur la Prée, un pigment d'une très grande qualité, était recherché non seulement en France mais dans le monde entier et surtout par les peintres Hollandais.
Le village des Ocreries, à 200 mètres d'ici, était le point de ralliement de cetle activité souterraine. 
C'est à cet endroit que fut aménagé le Port des Ocreries qui permettait aux ocriers de charger sur les bâteaux de passage, les tonneaux d'ocre qui rejoignaient Nantes puis, par la mer, diverses destinalions.
La navigation dite avalantes se déroulait d'octobre à mai, en descente de couront, par rivière haute. 
Les bateaux en bois légers, étaient pour l'essentiel déchirés à l'arrivée, démontés, puis vendus comme bois de chauffage.
Les hommes revenaient à pied vers leur port d'origine et parfois à la remontée avec leurs bâteaux à fond plat tirés par des chevaux, des
boeufs, des hommes ou la voile.


Le crash des Ocreries

Cette page de l’histoire de Saint Georges sur la Prée, prend naissance dans la nuit des 10 au 11 juillet 1944 .

Cette année-là, notre pays, comme une grande partie de l’Europe, est en guerre. L’Allemagne, dirigée par le chancelier Adolf Hitler, a envahit une partie de notre continent.

Depuis l’été 1940, la France est sous le joug des nazis et y restera jusqu’en 1945 ou, avec l’aide des pays amis et des organisations de résistance françaises, elle repoussera l’ennemi hors de ses frontières.

Pour y parvenir, il faudra une montée en puissance des forces  alliées, s’appuyant  sur  des filières de maquis de proximités qui vont jouer un rôle déterminant, non seulement pour l’aboutissement de l’armistice tant attendu, mais également  pour la conclusion  du présent récit.

Au mois de juin 1944, les forces aériennes  alliées sont principalement stationnées sur divers terrains d’aviation d’Angleterre, sous le commandement de la RAF (Royal Air Force).

Toutes les nuits, des escadrilles  décollent du Royaume-Uni  pour des missions de surveillance mais aussi de bombardement des installations militaires allemandes implantées en France dont  les axes ferroviaires facilitant les déplacements de la Wehrmacht.

Les pilotes de ces avions alliés sont anglais, canadiens, américains, polonais, belges ou d’autres nationnalités et sont fermement déterminés à redonner à la France sa Liberté, à retrouver la Paix dans une Europe fraternelle.

Ainsi, dans la nuit des 10 et 11 juillet 1944, à 0h40, quatorze bombardiers légers, Mosquitos VI,  de la RAF, essentiellement pilotés par des aviateurs d’origine polonaise, décollent du petit aéroport de Lasham à quelques encablures de Londres, avec pour mission de reconnaître, voire de bombarder les installations allemandes de l’axe ferroviaire Orléans et Limoges.

Au-dessus de la gare de Vierzon, l’un des Mosquitos, piloté par le capitaine Edward Suszynski avec à son bord un navigateur, le commandant  Julian Lagowski, essuie les feux de la DCA allemande.

Le commandant Lagowski, seul rescapé de ce crash témoignera des années plus tard….

«  …. Soudain, alors que nous étions juste au-dessus de la gare de Vierzon, nous avons été surpris et aveuglé par la lumière de réflecteurs anti-aériens. Tout autour de l’avion fusaient d’innombrables tirs d’artillerie ennemie ainsi que des balles de mitraillettes.

Afin de dégager l’avion de cette épaisseur de lumière ainsi que du feu, j’ai crié à Edward (pilote) «  tourne à droite.. ».

Au même instant j’ai entendu le bruit du choc d’un obus touchant l’avion. Les lumières se sont éteintes : tout se passa vers 1h 30.

Les moteurs fonctionnaient encore correctement et au moment même où je me disais que notre Mosquitos n’était pas sérieusement endommagé, j’ai vu dans la nuit noire, sur le flanc de mon moteur gauche, un reflet de feu du moteur droit. J’ai crié à Edward, «  je crois que nous brûlons ». Il a pris alors de la hauteur et après quelques secondes il s’écria  «  … saute…saute.. » en pilotant l’avion sans inclinaison, ce qui m’a donné la possibilité d’effectuer mon saut en sûreté.

J’ai alors attaché mon parachute et essayé d’ouvrir la porte de sortie qui se trouvait juste à ma droite,  malheureusement sans succès. Je me suis alors rappelé que dans le temps je jouais au football dans l’équipe représentant la Force Ouvrière de Pologne. J’ai alors donné un coup de pied à la serrure et la porte s’est détachée.

J’ai sauté et j’ai vu une grande traînée de flammes à l’arrière du moteur. J’ai tiré sur la poignée ouvrant le parachute et j’ai senti une secousse due à la coupole du parachute qui se remplissait d’air.

J’étais suspendu dans les airs, attaché par des harnais à la coupole du parachute : après un moment, mes pieds ont touché le sol,.. j’étais sain et sauf !

En me détachant du harnais, je surveillais ce que devenait l’avion : Il volait encore en ligne droite sans perdre de hauteur. Puis, à un moment il a piqué du nez brutalement, en pente raide, a pu se rééquilibrer juste avant de toucher le sol.

Probablement qu’Edward n’a pas réussi à se dégager de l’avion en essayant d’atterrir.

Malheureusement, lorsque l’avion toucha terre, à peine avait-il roulé sur quelques dizaines de mètres  qu’il prit feu avec des flammes gigantesques.

J’ai alors entendu des détonations venant des obus et des mitraillettes qui se trouvaient dans l’avion.

Les flammes agonisaient petit à petit : arrivé à proximité de l’avion espérant qu’Edward ait survécu, j’ai appelé plusieurs fois, « Edward…Edward… »  mais bien sûr je n’ai reçu aucune réponse.

J’ai enroulé les attaches du parachute dans la toile et je l’ai caché dans un buisson en espérant empêcher les allemands d’aller à ma recherche. J’ai tourné le dos à l’avion en feu et je me suis mis à marcher aussi vite que j’ai pu en direction du sud-ouest….. ».

Au petit matin, la population découvrit les restes du Mosquitos dans un champ de betteraves, à deux cent mètres des Ocreries ; Il ne restait que la carcasse calcinée de l’avion, et, à quatre-vingt mètres , le corps du pilote qui avait vraisemblablement tenté de sauter au dernier moment… sans son parachute.

Julian Lagowski, le navigateur rescapé, a ensuite longuement marché : Il sera recueilli par plusieurs familles, pris en mains par un réseau de Résistance de la région de Genouilly  dirigé par le lieutenant Daniel Belliard de la compagnie Wolfer qui le confia ensuite à Pearl Witherrington, lieutenant « Pauline », une jeune anglaise qui dirigeait un réseau de rapatriement dans la région Indre, Cher et Loir-et-Cher.

Après avoir vérifié l’authenticité de la personnalité de l’aviateur, Pauline le dirigea vers une ferme des environs de Maray où la famille Steegmens le cachera pendant plus d’un mois.

C’est une patrouille américaine, qui le récupérera pour le diriger vers un petit aérodrome, au nord de la Loire, d’où il rejoindra sa base aérienne de Lasham.

Une stèle située aux Ocreries, rue de la Jorandière, marque l’emplacement du crash.


Châtre sur Cher (41)
Je quitte le Cher et entre dans le Loir et Cher.

Mennetou sur Cher (41)

Historique 

Bien que Mennetou garde de généreuses marques de son passé moyen âgeux, sa fondation remonterait au Vle siècle quand Ingertrude, fille de Clotaire ler, décide d'y bâtir un monastère. 
Mennetou se nommait alors Monastellum, nom
qui mutera au cours des siècles en Moneto , Monesto, Menetou pour aboutir au nom actuel avec 2 "n" au XVIle siècle.
Incendié par les Normands au cours du lXe siècle, il ne reste, aujourd'hui, aucune trace de ce monastère.
Toutefois les Bénédictines de Beaumont-les-Tours, installées dès le début du Xlle siècle y  résideront jusqu'à la Révolution Française et contribueront, en grande partie à écrire son histoire.

C'est en 1212 qu'Hervé ll, seigneur de Vierzon, décide de fortifier Mennetou. Il y fait tout d'abord creuser des fossés au nord.
La fortification se poursuivra tout au long du XIlle siècle pour aboutir à un ouvrage
long de 250 m, large de 150 m et haut de 15 m.
Cette forteresse était défendue par 5 tours rondes à meurtrières dont 3 subsistent encore. 
On y pénétrait par 3 portes de plan carré, toujours en place.
Ainsi armé, Mennetou ne fut pas pris très souvent. 
Toutefois en 1356 la bannière du Prince Noir flottera sur le village avant que Mennetou ne soit définitivement libéré du joug de l'Anglais dans les années 1370.
Durant les guerres de religion, la ville, un moment protestante, servit de prison à ciel ouvert pour les catholiques.
A la construction de l'enceinte défensive, s'ajoute celle d'un château, modeste
demeure de 3 étages qui ne fut guère habitée jusqu'au milieu du XVe siècle.
En 1451, les De Vaudenay, seigneurs de Mennetou, entreprennent une rénovation
de la Cité et du château. Leurs descendants continueront leur œuvre jusqu'à la fin du XVlle siècle, époque à laquelle le château est vendu aux bénédictines.
C'est également au XIlle siècle que fut construit le couvent des Bénédictines.
Actuellement ne subsiste que le Prieuré, appartement de la Prieure. 
A l'époque médiévale il était pourvu d'un bâtiment attenant au Prieuré qui abritait les chambres des religieuses, le réfectoire,
l'infirmerie ainsi que les salles de travail et de prière. 
Cet ensemble s'agrandira du château en 1686. Malgré leurs multiples revenus la communauté était très pauvre et ne pouvait faire face aux dépenses d'entretien des bâtiments religieux
d'une part et du château d'autre part. 
Lors de leur vente en biens nationaux en 1792, il est fait état d'un délabrement avancé.
Echapperont à la destruction le château jusqu'en
1925,le prieuré, le presbytère et l'Eglise.
Vue du village 

Porte d'en Haut : 13 ème siècle 
Elle conserve encore son escalier qui menait au chemin de rondes ainsi que les glissières destinées à recevoir les vantaux de bois et la herse.

Maison à colombages en croix 
de Saint-André
constuite en pans de bois et torchis, 15ème-16ème siècle

Echoppe de commerçant ou d'artisan avec
"sa fenétre à banquette". 16ème siècle

Les tours defensives 
13 ème siècle

Au nombre de 5 à l'origine, il n'en reste plus que 3 aujourd'hui. Elles étaient toutes composées
selon le même schéma
● 2 étages défensifs avec meurtrières
● un toit en poivrière et un escalier en colimaçon
qui desservait les différents étages.
La porte bonne nouvelle et le prieuré 

Le faubourg Bonne Nouvelle était fortifié d'une
enceinte de pierre en forme de triangle partant
de la tour de la rue des fossés, empiétant sur la
RD976 actuelle et venant se rattacher à la tour
du Prieuré. La porte de Vierzon permettait
l'accès à ce faubourg inhabité puis à la cité.
L'acte de fondation du prieuré bénédictin date
du XIIl ème siècle (1213 ou 1206). 
Il abritait une vingtaine  de bénédictines et les bâtiments (cellules, salles de prière et de travail, infirmerie, réfectoire, chapelle) occupaient environ 1/4 de la vieille ville. Ils furent vendus en biens nationaux en 1792.




La porte d'en bas 
La porte d'en bas avec la porte d'en haut et la
porte bonne nouvelle permettaient l'accès à la
cité.Toutes de plan carré, c'est la seule qui
conserve sa hauteur primitive, environ 20m. 
La partie ogivale donne accès à la cité. 
Le 1er étage était une salle des gardes dédiée à l'observation et à la défense. 
Le second appelé étage aveugle recevait
le toit à 2 pans qui abritait une probable
armurerie.
Jeanne d'Arc après sa traversée de la Sologne et avoir franchi la Loire, en route pour rejoindre le roi Charles VII à Chinon aurait dormi au prieuré des Bénédictines, du 3 au 4 mars 1429, au dernier étage de sa tour. Une plaque commémorative de ce passage est visible sur la porte d'En-Bas.


La halle aux dîmes

Bâtiment du Xlle siècle classé MH reposant
sur des fondations du Xle siècle
Visibles sur la partie gauche au 1er étage les 2 fenêtres de style gothique Angevin éclairent la
grande salle d'audience.
A l'approche du toit, la petite ouverture
permettait l'accès au pigeonnier, signe extérieur de richesse au Moyen-Age.
Quelques photos

L'andouillette à  la ficelle : une spécialité 









Langon sur Cher (41)
Château de Bretets ou de Berthets


Châtres sur Cher (41)
Château de Douy





13h00 pose à  Romorantin-Lantenay à l'ombre près  de la Sauldre.

Romorantin-Lantenay (41)

Capitale de la Sologne, sous-préfecture du Loir et Cher,  Romorantin-Lanthenay  dut sa prospérité à la laine  d'un mouton brun local qui permit l'essor de l'industrie drapière  dès le 
XVI ème siècle.  Sa viande concurrençait à la
Belle Epoque, les prés-salés dans les meilleures boucheries parisiennes.
Claude de France, 1re épouse de François 1er est née au château de Romo (pour les intimes) et le couple royal y séjourna fréquemment.

Église Saint Etienne
J'entre dans l'église ; je ne sais pas si c'est pour une pause fraîcheur ou pour la visiter tellement le contraste est marquée. Les deux à  la fois..

Cette église collégiale, dédiée à Notre-Dame, fut probablement fondée au XII ème siècle.
Au siècle suivant, on assiste à la création de la paroisse de Romorantin séparée de celle de Lanthenay.
La collégiale devient alors une église paroissiale sous le patronage de Saint Etienne.
De l'église primitive, il ne subsiste que les quatre piliers du carré du transept et la partie basse du clocher.

À la fin du XII ème siècle, le choeur est transformé et l'on construit la nef dépourvue de bas côtés. Saccagée pendant la  Guerre de
Cent Ans , elle est restaurée vers 1454 par
Jean d'Angoulême, l'aïeul de François Ier.
Un portail aujourd hui disparu est ouvert
au nord tandis que la nef s'élargit de deux
travées.
Le porche de l'église, appelé "caquetoir " a
été supprimé pendant la Révolution.

Enfin, une dernière campagne de travaux
efectués de 1863 à 1866 donne à l'église son
aspect extérieur final.








Le monument aux morts

Pour se promener,  suivez moi

Musée de Sologne


Porte d'entrée monumentale de l'usine, dite « Porte des Béliers » 

En raison de quatre têtes de béliers sculptées dans la masse et qui ornent les chapiteaux des colonnes. Elles symbolisent le travail de la laine et représentent la fécondité. Conçue en pierre de taille, métal et verre, cette porte forme un bon exemple de l'architecture industrielle triomphante de la fin du XIXe siècle.

La Pagode "chinoise

La Pagode "chinoise" à usage de château d'eau est située dans le parc de l'Hôtel de Ville de Romorantin.

Elle est inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1994.
Elle a été construite vers 1900, et selon la tradition aurait été achetée à une exposition universelle par la famille Normant, les puissants industriels de Romorantin.
La mode était aux "chinoiseries" au début du 20 ème siècle et la pagode était accompagnée d'un petit jardin chinois qui n'existe plus à ce jour.
Elle servait à la fois de salon de lecture, (il y a un très beau salon orné de peintures au premier niveau) et de château d'eau pour l'Hôtel particulier tout proche. Cet hôtel particulier est aujourd'hui l'hôtel de ville.


L'hôtel de ville 


Les armoiries 
Le carroir doré : musée archéologique Marcel de Marchéville

Hôtel de la Chancellerie
Selon la tradition, mais on ne peut en être sûr, lors des séjours de la cour, c’est ici que l’on déposait les sceaux royaux, d’où le nom de Chancellerie.
Vestiges du château : aujourd'hui sous-préfecture 


LA BARBE!

En 1521, lors d'une fête arrosée, François ler participa à une bagarre entre 2 factions rivales. Un des courtisans lança un tison enflammé qui tomba sur la tête du roi, le brûlant au visage
Pour cacher sa cicatrice, le souverain se laissa pousser la barbe. Et, dès lors, la barbe devint à la mode.

Musée espace automobile Matra

L'Espace Automobiles Matra ou musée Matra est un musée automobile français. Il reprend l'histoire de Matra dans l'industrie automobile.
Ouvert en l'an 2000 dans les anciennes usines des caméras Beaulieu, qui comporte une collection unique en France d'une cinquantaine de voitures de sport ainsi que des prototypes de la firme. 




Le beffroi
Sur un mur du beffroi


Chapelle Saint Roch
Quelques photos






La chaleur est étouffante.  Comme une cocotte minute, j'ai le cerveau  en surchauffe. La pression commence à  monter. La bouche est sèche.
Enfin un bar dans ces quelques villages solognots.
Pause à  Selles Saint Denis. Il est 16h00 et encore 18 km

La Ferté Imbault (41)

Chapelle Saint Taurin

Collégiale Saint Taurin, aujourd'hui disparue 





Château de la Sauldre



Apres-midi très  chaude. Le coup de pédale était moins facile sur les longues lignes droites à  découvert. 

Arrivé 17h31 après 99,9 km, 9h51 de temps total de vélo et 457m D+.

Bonne nuit à toutes et à tous et à demain si vous le voulez bien pour de nouvelles aventures 👋 👋

Commentaires

  1. De nombreux étangs dans ces régions traversées,bien aménagés avec de jolis coins de verdure..à l ombre sur un banc avec ma liseuse,mon vaporisateur,ma gourde mais que j étais bien...

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  2. Belle histoire de cet aviateur polonais qui s'est écrasé en juillet 44. J'espère que vous aurez moins chaud aujourd'hui. Francis

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